La semaine d'un cinéphile (91)
Lundi 23 juillet 2018
Pas facile de tourner un nouveau film quand on s'appelle Laszlo Nemes, réalisateur du Fils de Saul. C'est fait pourtant et on pourra juger du résultat à partir de février 2019. De quoi parle Sunset ? D'une femme à Budapest dans les années 1910. On attend ...
Mardi 24 juillet
Il fait très chaud. Est-ce que cela donne envie d'une bière en terrasse ou d'une séance climatisée ? L'un et l'autre mon général. Quoique je dois bien avouer que la météo n'influe en rien sur ma fréquentation des cinémas. Seul le désir et les opportunités me meuvent. Quel que soit le temps : canicule, pluie battante, neige, peu me chaut !
Mercredi 25 juillet
A 80 ans, depuis une semaine, Paul Verhoeven est toujours actif. Benedetta, son prochain film racontera l'histoire suivante : "A la fin du XVème siècle, alors que la peste fait rage, Benedetta Carlini entre comme novice au couvent de Pescia en Toscane. Capable depuis l’enfance de miracles, elle va bouleverser la vie de cette communauté." Avec Virginie Efira, Charlotte Rampling et Lambert Wilson. Et ce sera sulfureux, forcément.
Jeudi 26 juillet
Beaucoup apprécié Une pluie sans fin hier soir même si le films n'est pas très "aimable". Après Les anges portent du blanc et avant le très hypnotique Un grand voyage vers la nuit (que tout le monde n'aime pas, je m'en suis aperçu à La Rochelle), on peut parler de bonne année pour le cinéma chinois. Pour Les éternels de Jia Zhangke, il faudra attendre février 2019 !
Vendredi 27 juillet
Depuis sa présentation à la Berlinale, le premier film de la roumaine Adina Pinitilie fait le buzz partout où il est présenté. Il est notamment présent au Festival de Sarajevo qui commence dans quelques jours. Touch me not sortira sur les écrans français le 31 octobre. Vivement !
Samedi 28 juillet
Antoine Balpêtré, ça, c'était un acteur. De la race des très grands second rôles du cinéma français. Je viens de le voir dans Le visiteur de Dréville et il était notamment de la distribution du Corbeau. Même quand le film est moyen (Le visiteur, pas Le corbeau), c'est le genre de comédien qui sauve en grande partie l'intérêt du film.
Dimanche 29 juillet
Aujourd'hui, c'est Bollywood avec Bajirao Mastani. Je suis loin d'être un amateur éclairé du genre mais de temps à autre ce n'est pas désagréable de se plonger dans cet univers. Et cela me rappelle l'une des expériences les plus fortes de ma vie de cinéphile avec une projection mémorable du côté de Jaipur.
Dimanche 29 juillet
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