La semaine d'un cinéphile (85)
Lundi 4 juin 2018
Enfin une semaine qui commence avec dans le viseur un film que j'attends avec impatience. Cela faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé. Le métrage en question est Trois visages de Jafar Panahi. Il se peut que je sois déçu mais qu'importe. C'est aussi le désir qui est excitant.
Mardi 5 juin
Très content que le Festival de La Rochelle ouvre autant sa programmation à la section cannoise Un certain regard. Nous pourrons ainsi voir en avant-premières : Donbass, Un grand voyage vers la nuit, Mon tissu préféré, Les moissonneurs et La tendre indifférence du monde. J'aurais aimé également découvrir le belge Girl mais il ne faut pas être trop gourmand.
Mercredi 6 juin
J'ai failli ne pas aller voir Volontaire vu le grand nombre de critiques négatives tant du côté des professionnels que des membres de Sens critique. En plus, je pensais découvrir le nouveau film de Sophie Fillières alors que c'était Hélène. Oups. Moyennant quoi, j'ai trouvé que le film n'était pas si mal, en particulier grâce à Diane Rouxel. Pas de regret donc.
Jeudi 7 juin
Las herederas (Les héritières) a remporté le prix du meilleur film au Festival de cinéma de Transylvanie. Ce qui ne fait que confirmer la bonne impression laissée par le film paraguayen partout où il a été projeté. Prochain festival où il sera présent : La Rochelle. Cela tombe plutôt bien, non ? Pas de date de sortie française pour l'instant.
Vendredi 8 juin
Trois soirées consécutives dans une salle de cinéma. Cela ne m'était pas arrivé depuis fort longtemps. Je n'ignore pas que la Coupe du monde de football débute bientôt et que ses horaires ne vont pas être faciles, en fonction du travail, notamment. Ce sera encore plus compliqué quand le Festival de La Rochelle aura commencé. Un problème d'abondance et de choix à faire, je ne vais pas m'en plaindre.
Samedi 9 juin
La Rochelle, J-20. En attendant, j'ai d'assez bonnes espérances sur les films bientôt à l'affiche, après une morne période. Avec par exemple, 3 jours à Quiberon, Désobéissance et Ma fille.
Dimanche 10 juin
Je ne cache pas mon faible pour le cinéma géorgien. Mandarines, signé de Zaza Urushhadze, est l'un de mes films préférés de ces dernières années. J'attends donc de voir sa nouvelle réalisation, The Confession. Il a été présenté pour la première fois en octobre dernier au festival de cinéma de Varsovie. Le verra t-on sur nos écrans ? L'espoir fait vivre.
A découvrir aussi
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 50 autres membres