La semaine d'un cinéphile (68)
Lundi 29 janvier 2018
Le Festival international des cinémas d'Asie débute demain à Vesoul. On y verra notamment des avant-premières : Centaure (Kirghizistan), Dakini (Bhoutan), La caméra de Claire (Corée), Hotel Salvation (Inde), Les destinées d'Asher (Israël). La compétition officielle, quant à elle, comportera 9 films. Franchement, cela donne envie ...
Mardi 30 janvier
Semaine très riche au cinéma. Heureusement, j'ai pris de l'avance ayant déjà vu Gaspard au mariage, Indivisibles et Centaure. Sachant que Oh Lucy! ne sera pas programmé près de chez moi et que je vais éviter Sparring et Les Tuche 3 (hum), il me reste donc à découvrir en salles Wonder Wheel, L'insulte et Une saison en France. Chouette programme !
Mercredi 31 janvier
Au revoir là-haut et 120 battements par minute dominant les nominations pour les prochains César. Ce qui ne leur assure pas la victoire en tant que meilleur film de l'année. Voici les oeuvres en lice : 120 battements par minute, de Robin Campillo, Au revoir là-haut, d'Albert Dupontel, Barbara, de Mathieu Amalric, Le brio, d'Yvan Attal, Patients, de Grand Corps Malade et Mehdi Idir, Petit paysan, d'Hubert Charuel, Le sens de la fête, d'Eric Tolédano et Olivier Nakache.
Jeudi 1er février
Mais oui, je peux très bien passer une journée sans voir de film et sans éprouver de manque. Par exemple, aujourd'hui, avec une longue route à faire avant de me trouver en week-end anticipé. Et puis, je sais que je vais terminer la journée avec le pavé de Paul Auster : 4321, et ça c'est du pur nanan. Vous vous souvenez d'ailleurs de ses films tournés dans les années 90 : Smoke, Brooklyn Boogie, Lulu on the Bridge ? Moi, pas trop.
Vendredi 2 février
Repos à la campagne. Quel sera mon film du jour ? Je vais piocher dans mon stock d'inédits. Un film thaïlandais ? Hongrois ? Brésilien ? Ah, non, macédonien, plutôt. Iscelitel a une note de 8,5/10 sur IMDB. Je m'en pourlèche les babines.
Samedi 3 février
Le deuxième film de Laszlo Nemes, le réalisateur du Fils de Saul, sera t-il prêt pour Cannes ? L'intrigue de Sunset se déroule en 1913 et est centrée sur une jeune couturière élevée dans un orphelinat et se rendant à Budapest au magasin de chapeaux de ses parents décédés. Elle apprend alors qu'elle a un frère et se met à sa recherche, ce qui la conduira à découvrir de nombreux secrets alors que le pays se prépare au chaos de la guerre.
Dimanche 4 février
L'excellent film brésilien Comme nos parents ne sortira pas en salles, semble t-il, ce qui est fort dommage. C'est l'un de mes meilleurs souvenirs du Festival d'Arras, en novembre dernier. Mon avis se trouve sur Sens critique.
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