Cinéphile m'était conté ...

Lundi 12 novembre

De retour chez moi mais pas encore au travail. J'ai fait le trajet en train non loin de Marilyn Canto. Je n'ai pas osé lui dire que je l'aimais bien. Je vais rattraper mon léger retard en allant voir Bohemian Rhapsody puis Un amour impossible. Seront-ils à la hauteur de One step behind the seraphim, le film roumain qui m'a marqué durant l'Arras Film Festival ?

Mardi 13 novembre

Retour au cinéma, si je puis dire, hier soir avec Un amour impossible et Bohemian Rhapsody. Ce soir, ce sera High Life. Et pour la semaine qui vient : Suspiria, Mon cher enfant, Frères de sang, Les chatouilles et Sami, une jeunesse en Laponie. Pas le temps de souffler !

Mercredi 14 novembre

La ballade de Buster Scruggs des frères Coen sera disponible le 16 novembre sur Netflix. Comme l'est déjà Un 22 juillet de Paul Greengrass ou bientôt Roma d'Alfonso Cuaron. Est-ce que cela va m'inciter à m'abonner ? Non, mais ne pas voir ces films est évidemment hors de question.

Jeudi 15 novembre

Le contrecoup d'Arras menace mon intégrité physique avec un gros rhume qui semble vouloir s'installer. Mais je résiste. Ce soir, je vais voir Les chatouilles. Encore un sujet difficile mais que je crois traité avec pudeur et délicatesse.

Vendredi 16 novembre

Le 11 décembre, François Ozon viendra dans mon cinéma préféré présenter son nouveau film Grâce à Dieu, plus de deux mois avant sa sortie en salles. Avec à nouveau un sujet sulfureux autour d'un prêtre pédophile.

Samedi 17 novembre

Un samedi cloîtré chez moi pour cause de rhume carabiné. Avec un programme de films invisibles sur grand écran (soupir) : La ballade de Buster Scruggs et Un 22 juillet.

Dimanche 18 novembre

Je n'ai aucune attirance pour le giallo. Vraiment aucune. Et je n'ai pas beaucoup aimé le Suspiria d'Argento. Alors de son remake, je ne devrais n'avoir rien à en faire. Sauf qu'il est signé Guadagnino. Alors, je vais tenter l'expérience.