Cinéphile m'était conté ...

Lundi 13 août 2018

Cela fait plusieurs fois, dans mes lectures, que je tombe sur ce titre : Croisières sidérales, film d'André Zwobada, film de SF français, sorti en 1942 ! Et le réalisateur a aussi tourné François Villon. Il faut absolument que je vois cela !

Mardi 14 août

Très content de retrouver l'héroïne de Toni Erdmann et l'acteur principal de Transit dans Une valse dans les allées. Un film allemand que je mets à égalité avec l'islandais Under the Tree parmi les films que j'ai le plus envie de voir dans les sorties de mercredi.

Mercredi 15 août

Autrefois, cela ne m'aurait pas fait peur de faire 100 km aller/retour pour voir un film de 4 heures et rentrer bien après minuit. Je crois pourtant que je vais renoncer à aller voir La saison du diable qui, de toutes manières, sera en VOD avant la fin de l'année. A la place, je vais plutôt regarder La fête est finie, toujours en VOD, que j'ai raté à sa sortie.

Jeudi 16 août

Je me régale tous les soirs avec la biographie de Claude Autant-Lara, à la personnalité très complexe. L'un des points d'orgue est le récit du tournage de La traversée de Paris. Avec notamment Les relations tumultueuses entre le réalisateur et Gabin, qui s'aigriront encore sur En cas de malheur.

Vendredi 17 août

J'ai toujours été attentif aux films présentés dans le cadre de la Quinzaine des réalisateurs à Cannes. Par exemple, cette année, avec Teret (La charge), originaire de Serbie. Pour l'instant, je ne vois aucune sortie de programmée. Bon espoir de le voir au Festival d'Arras, dès novembre.

Samedi 18 août

J'ai regardé en plusieurs fois L'oeil de Vichy sur youtube. Ce documentaire de Chabrol est construit à partir des actualités de propagande de la France collaborationniste diffusées dans les cinémas. Edifiant.

Dimanche 19 août

Retour en ville après une pause rustique régénératrice. J'ai deux films à voir : Une valse dans les allées et Le monde est à toi. Le programme de mercredi prochain est assez pauvre avec seulement le Spike Lee et The Last of us car je crains que le film de Carlos Diegues ne soit à l'affiche que des très grandes villes.