Cinéphile m'était conté ...

Cinéphile m'était conté ...

Amateurisme revendiqué (Ici et là-bas)

Le quotidien d'un villageois mexicain après son exil aux Etats-Unis. La chronique (très) lente d'Ici et là-bas est privée de tout ressort dramatique, mise en scène de façon moyenne et interprétée avec un amateurisme revendiqué. Rien de réjouissant ni de désespérant non plus quoique 30 minutes de moins n'auraient pas fait de mal. Se pose tout de même la question de savoir pourquoi Antonio Méndez Esparza n'a pas tourné un documentaire plutôt que cette simili fiction au scénario exsangue.

 




13/02/2013
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 50 autres membres