Mazette, c'est encore Mazetti (Le caveau de famille)
Ils sont de retour. Benny, le paysan fruste, et Désirée, la bibliothécaire intello (l'inverse eût été rigolo). Le mec de la tombe d'à-côté fonctionnait sur l'attirance bien connue des contraires et sur l'alternance du froid et du chaud, un coup on s'aime, un coup on se fait la gueule, etc. Bon, Le caveau de famille est comme toutes les suites, inutile et fade. Les deux compères tentent la vie en commun, on se doute bien que cela ne va pas être de la tarte. Mais pas que ce serait aussi tartignolle. Banal, avec des aspérités pour alimenter l'histoire, mais rien de bien excitant. Les couples heureux n'ont pas d'histoire, alors Katarina Mazetti ajoute quelques louches de désillusions et d'incompréhensions, pour que la soupe soit potable. Elle l'est, mais sans goût particulier. Mazette, c'est du réchauffé, ce potage-là !
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