Cinéphile m'était conté ...

Lundi 26 novembre 2018

J'aime (en général) le cinéma de Joachim Lafosse. Son prochain film, Continuer, est l'adaptation d'un roman que je n'ai pas vraiment apprécié. Et c'est avec Virginie Efira, que je n'aurais pas imaginée pour le rôle principal. J'ai confiance, malgré tout. Sortie fin janvier.

Mardi 27 novembre

Je suis allé voir Mauvaises herbes hier soir en traînant les pieds. Je n'avais pas vu d'ailleurs le premier film de Kheiron, Nous trois ou rien. Mes a priori n'étaient pas fondés (ça arrive). Et je suis content d'avoir surmonté mon mauvais pressentiment (ça fait du bien).

Mercredi 28 novembre

C'est fou quand même ces réalisateurs qui à 80 ans ont encore l'énergie de tourner. Comme par exemple Istvan Szabo qui dirigera le "jeune" Klaus Maria Brandauer (75 ans) dans son prochain film. J'ai beaucoup de bons souvenirs avec le cinéma de Szabo et j'aurais du mal à désigner un film favori. Mephisto, peut-être ?

Jeudi 29 novembre

Belle projection de La permission hier soir, en présence du réalisateur et de l'actrice principale. Mercredi prochain sort un autre film iranien, Pig, où il est question d'un tueur en série qui s'attaque aux réalisateurs du pays. Alléchant mais j'ai peur que le film connaisse une diffusion fort confidentielle.

 Vendredi 30 novembre

On pourrait croire que peu de films sortent à la date délicate du 26 décembre. pas du tout, il y a même embouteillage, y compris pour des films d'auteur tels que l'indien Monsieur, le brésilien La vie comme elle vient et l'italien Troppa Grazia. Réussirai-je à les voir avant la fin de l'année ? Ce 'nest pas gagné.

Samedi 1er décembre

J'adore découvrir de nouveaux territoires cinématographiques. J'ai prévu de voir bientôt de voir un film hondurien (Un lugar en el Caribe). Presque aussi rare : le cinéma luxembourgeois, présent cette semaine sur les écrans avec Gutland.

Dimanche 2 décembre

Comme l'an dernier, je vais participer au festival en ligne Artekino, qui permet de découvrir 10 films européens inédits. Il y a notamment le polonais Mug et le grec Pity, que j'avais déjà repéré.