Arrête, ça Mexique ! (9)
Arrête, ça Mexique !
Episode 9 : Adieux dansants.
La dernière ligne droite. Elle débute par la visite d'une fabrique de Sisal. A partir de la plante éponyme, cette fibre, très résistante, sert à la fabrication de cordage, de tissus et de tapis. Je ne suis pas vraiment passionné, j'en profite pour aller dire bonjour aux mulets qui travaillent sur place. Un peu timides, mais bien sympathiques, les équidés.
Les cimetières mayas, eux, sont riches en couleurs.
Gros morceau du jour : Chichen Itza. Fondé en 540 après J.C par des tribus mayas, venant du sud, le site fait de plus de 300 ha. Un vrai centre commercial à ciel ouvert, avec des nuées de touristes, difficile de se concentrer et de méditer en ce lieu. On tremble devant le cénote sacré, où étaient jetées les victimes sacrificielles ; on admire la pyramide de Kukulan ; on imagine les jeux du terrain de pelote où un certain Rafael Mayadal s'illustra (à moins qu'on ne m'ait raconté des histoires) ; On se rafraîchit comme on peut, parce que la chaleur est insupportable.
Etape finale : Valladolid. Ultime occasion pour profiter de la Happy Hour (en espagnol dans le texte). Mojito, margarita, daiquiri, etc. La nuit tombe, la maréchaussée ferme le centre-ville. C'est l'heure du grand bal populaire, quoi de mieux que de dire adios au Mexique en dansant ?
Hasta luego, companeros !
A de prochaines aventures.
Episode 9 : Adieux dansants.
La dernière ligne droite. Elle débute par la visite d'une fabrique de Sisal. A partir de la plante éponyme, cette fibre, très résistante, sert à la fabrication de cordage, de tissus et de tapis. Je ne suis pas vraiment passionné, j'en profite pour aller dire bonjour aux mulets qui travaillent sur place. Un peu timides, mais bien sympathiques, les équidés.
Les cimetières mayas, eux, sont riches en couleurs.
Gros morceau du jour : Chichen Itza. Fondé en 540 après J.C par des tribus mayas, venant du sud, le site fait de plus de 300 ha. Un vrai centre commercial à ciel ouvert, avec des nuées de touristes, difficile de se concentrer et de méditer en ce lieu. On tremble devant le cénote sacré, où étaient jetées les victimes sacrificielles ; on admire la pyramide de Kukulan ; on imagine les jeux du terrain de pelote où un certain Rafael Mayadal s'illustra (à moins qu'on ne m'ait raconté des histoires) ; On se rafraîchit comme on peut, parce que la chaleur est insupportable.
Etape finale : Valladolid. Ultime occasion pour profiter de la Happy Hour (en espagnol dans le texte). Mojito, margarita, daiquiri, etc. La nuit tombe, la maréchaussée ferme le centre-ville. C'est l'heure du grand bal populaire, quoi de mieux que de dire adios au Mexique en dansant ?
Hasta luego, companeros !
A de prochaines aventures.
FIN
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