Cinéphile m'était conté ...

Cinéphile m'était conté ...

Tableau de maître

Après Vampyr (1932), Carl Dreyer passe plus de 10 ans sans tourner. Esthétiquement, Jour de colère s'inspire dans dans de nombreux plans des grands maîtres de la peinture et, notamment, de Rembrandt. Réalisé durant la guerre, le film est un plaidoyer contre l'intolérance et le fanatisme auxquels le cinéaste oppose le pouvoir de l'amour et de l'âme. Pas si loin de Borzage dans l'esprit mais traité de façon austère, exigeante et somptueuse.

 

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18/01/2016
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