Cinéphile m'était conté ...

Love, Jakub Kroner, Slovaquie, 2011

Lui : un petit délinquant, inséparable de son copain d'enfance ; elle : étudiante à la recherche de sa mère. Cupidon passe par là. Le côté prévisible du film est incontestable dans ce drame romantique : le gros coup qui doit être le dernier, les mensonges qui finissent par être révélées. Profondément pessimiste et noir, le film a pour lui une réalisation et une interprétation impeccables. Quelques raccourcis scénaristiques plombent un peu la chose mais on ne lui y tiendra pas trop rigueur. Un carton au box-office slovaque qui s'explique donc.

Note : 6/10