Cinéphile m'était conté ...

Cinéphile m'était conté ...

En transe sibérienne (2)


Deuxième partie : J'me balade dans Moscou

Ce titre fait référence à un film célèbre, symbole du bref "dégel" soviétique durant les années Khroutchev.


Deux jours et demi, c'est bien peu pour sentir l'humeur moscovite. Surtout que le Kremlin et la Place Rouge méritent une journée complète. J'y reviendrai.
Moscou n'a pas le charme immédiat de Saint-Pétersbourg ni bien entendu son homogénéité esthétique. Très étendue, la capitale moscovite a son pouls dans le quartier du Bolchoï.
On se balade un peu dans le secteur ?


Images traditionnelles. On est chapka à son destin.


Pas très loin de la Place Rouge.


Revenons sur nos pas. De danse. Le Bolchoï est là.


A proximité, les rues les plus commerçantes de Moscou. De jour comme de nuit, beaucoup de monde. Moscou a tendance à devenir le New York de l'est. Une ville qui ne dort jamais. Réservée à ceux qui ont les moyens tellement la vie est chère.

Tiens, un artiste local. J'en jaunis à l'idée.


Un petit passage par les entrailles du métro pour changer de quartier. Pas assez de temps pour admirer la décoration des stations de métro. Dommage. On s'y retrouve facilement à condition de lire le cyrillique.


Au sud de la ville


Plutôt que le Musée des Beaux-Arts Pouchkine, j'ai choisi de me consacrer à la Galerie Tretiakov. De Roublev à Malevitch, on y trouve la quintessence de la peinture russe. Merveilleux endroit. Une salle entière est consacrée à Levitan.


C'est riche. Incroyablement.


Un coup de coeur pour une artiste du nom de Serebriakova et son auto-portrait.


Vous le reconnaissez ?


Ils sont là, eux aussi.


Un petit tour vers la Moskova.


Le samedi, les mariées se pavanent sur les ponts.


Et lui, il en pense quoi, de la Russie capitaliste ?


Pause bière/banane


Les maisons-musées d'écrivains ne se comptent plus à Moscou. Pouchkine bat Tolstoï 4 à 3. Je choisis ce dernier. Intéressant bien que manquant d'explications autres qu'en Russe. Un peu d'émotion en découvrant un petit film montrant le quotidien de l'auteur d'Anna Karénine dans les dernières années de sa vie.


Impossible de passer à côté de la plus grande cathédrale de Russie : le Christ Sauveur.


Pour terminer, cap sur la rue Arbat. Comme Montmartre, elle n'est plus aujourd'hui qu'une attraction pour touristes. Le charme s'est évaporé.


Je me console avec un chocolat chaud aux marshmallows. A un tarif qui ferait rougir les cafetiers parisiens !
C'est tout pour aujourd'hui ...



23/10/2012
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