Adieu à un non-conformiste
Ettore Scola, Ermanno Olmi, Vittorio Taviani et maintenant Bernardo Bertolucci, c'est toute une génération de grands cinéastes italiens qui disparait peu à peu (j'espère que Marco Bellocchio va bien).
Bertolucci, pour moi, c'est d'abord la découverte de 1900, au début de ma cinéphilie. Puis, plus tard, la projection du Dernier empereur, dans une salle bondée. Je l'aimais bien Betolucci, malgré toutes les révélations du tournage du Dernier tango à Paris. Notamment pour Un thé au Sahara et Innocents, et d'autres encore ... Le cinéaste, comme beaucoup de ses pairs transalpins apparus dans les années 60, n'était pas un Conformiste, titre de l'un de ses films les plus fameux.
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